Un virus, il s’agit de quoi ?
En 1790, le terme virus était encore non connu, à ce moment-là Edward Jenner le considère seulement comme une toxine, car, sa structure n’a pas été encore découverte.
Avec le temps ce mot crée sa place dans le vocabulaire médical, et il est connu comme un parasite microscopique, d’une taille 20 à 300 nm, on le désigne comme un parasite, car il est dépourvu de la capacitée d’effectuer sa propre réplication autonome, comme le cas des bactéries par exemple, pour cela il est toujours besoin d’une cellule hôte sur laquelle il opte pour se répliquer, assurer son phénomène de transcription et de traduction afin d’exprimé son information génétique.
Ainsi, d’autre type de virus est ajouter aussi, c’est ce qu’on l’appelle bactériophage, il s’agit de virus des bactéries.
Généralement se sont structuré uniquement d’un matériel génétique et d’une enveloppe protéique qui assure sa protection à sa pénétration dans la cellule hôte, ainsi cette structure protéique, contribue au processus d’expression génique dés que la pénétration sera achevée.
Virus à ADN ou à ARN ?
Les virions ou les particules virales, sont classées en deux groupes en matière de leur génome, c’est soit des virus à ADN qui ont une structure basé d’un ADN double Brin, ou bien des virus à ARN dont leur matériel génétique est composé d’un ARN simple Brin.
C’est ainsi, la nature de virus, qu’il porte un ADN ou un ARN qui détermine la façon dont ce virus assure sa réplication et sa transcription.
Par exemple les virus à ADN ont une masse volumique par rapport aux virus à ARN, ce qui leur confère certaines propriétés que les virus à ARN ne les possède pas, comme faire appelle à l’ADN polymérase de la cellule hôte, ainsi ils peuvent même être indépendant aux mécanismes de transcription de la cellule hôte.
Pour les virions à ARN, ils codent pour une ARN polymérase dépendante qu’elle n’est pas trouvée dans la cellule hôte.
Ainsi, y a qui peuvent même exprimer des ADN Polymérase et ARN dépendant pour assurer leur propre réplication par le phénomène de la transcription inverse. C’est le cas de certains rétrovirus.
Pour que un virus provoque une maladie, il faut que sa réplication atteinte un certain niveau comme par exemple échapper du système immunitaire, car un virus à une grande capacité à se muter et changer de forme, cependant les dégâts peuvent être grave, et même cancérogènes car un virus peut conduire à l’apparition des tumeurs en altérant le bon fonctionnement du cycle cellulaire, ainsi il peut altérer le cycle métabolique des cellules en agissant sur les facteurs de croissances, sur la compétition des enzymes, ou même d’altérer la membrane cellulaire en induisant une lyse cellulaire.